Submergé par le nombre d’informations, ce radar a été débranché.

Un radar de vitesse installé devant un chantier a dû être désactivé après seulement quelques jours d’utilisation. Le dispositif a enregistré près de 10 000 excès de vitesse par jour, dépassant largement les capacités de traitement du système.EN BREF À Rotterdam, un radar sur l’autoroute A16 a flashé près de 10 000 véhicules par jour, provoquant sa panne. Les autorités ont suspendu le radar, annulé toutes les amendes et amélioré la signalisation pour adapter les conducteurs. Après réactivation, le nombre d’infractions a significativement diminué, indiquant une adaptation des conducteurs aux nouvelles limites de vitesse.×

À Rotterdam, un radar installé devant un chantier sur l’autoroute A16 a été submergé par un volume exceptionnel de véhicules flashés en excès de vitesse, totalisant près de 10 000 amendes par jour. Cette surcharge a conduit à une panne du dispositif.
Les autorités ont suspendu temporairement le radar pour réviser leur approche et améliorer la signalisation, afin de garantir une meilleure adaptation des conducteurs à ces changements. Depuis, les radars ont été réactivés et le nombre d’infractions a considérablement diminué, suggérant une situation de retour à la normale.

Un piège à automobiliste ce radar

Un radar installé devant un chantier sur l’autoroute à Rotterdam a rencontré une panne inhabituelle due à l’afflux massif de véhicules flashés en excès de vitesse, rapporte Efahrer. En quelques jours seulement, le nombre d’amendes enregistrées a atteint près de dix mille par jour ! Le chantier concerne la rénovation d’un pont sur l’autoroute A16, entraînant une réduction temporaire de la limite de vitesse à 70 km/h. Cette nouvelle restriction a surpris de nombreux conducteurs, particulièrement les “navetteurs” habitués à des vitesses plus élevées. Comme on pouvait s’y attendre, la baisse soudaine de la vitesse autorisée a provoqué une augmentation drastique des excès de vitesse enregistrés.
D’après les autorités, le système de gestion des données s’est retrouvé submergé à cause du trop grand nombre d’amendes. Le volume de véhicules flashés dépassait largement les capacités de traitement du dispositif, entraînant une défaillance complète. “En principe, les flashs fréquents ne posaient pas de problème pour le radar mobile, mais le système de traitement n’a pas pu gérer le grand nombre de chauffards enregistrés”, a précisé le porte-parole du parquet.